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Un coup d'œil sur les appels traités quotidiennement par le Centre des communications 9-1-1
Le Centre des communications 9-1-1 est doté, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, de gens hautement qualifiés et dévoués pour vous aider lorsque vous en avez le plus besoin. Ils sont la première personne à qui vous parlez en cas d'urgence ou quand vous avez besoin d'un agent de police. Voici un coup d'œil sur les coulisses de leurs activités.
Le mercredi 23 juin 2021, de 16 h à 19 h
Au cours de cette période de trois heures, les préposés répondirent à 86 appels pour la police au numéro pour les cas non-urgents et gérèrent 166 appels au 9-1-1, donnant lieu à 162 appels nécessitant une intervention policière.
Quelques-uns des types d'appels reçus :
- Voies de fait
- Vol à l'étalage
- Vérification du bien-être
- Conduite dangereuse
- Plainte liée à la drogue
- Incident suspect
- Personne disparue
- Déclenchement d'alarme résidentielle
- Faux appel au 9-1-1
- Conducteur aux facultés affaiblies
- Introduction par effraction dans une résidence
- Violence familiale
- Trouble de l'ordre public
- Collision automobile
Appels soulignés
Une femme dans tous ses états appela le 9-1-1 parce qu'on la suivait et qu’elle ignorait où elle se trouvait. Elle raccrocha avant que l'analyste d'appels, Anne, ait pu obtenir les renseignements nécessaires pour lui envoyer de l'aide. Anne, qui travaille au Centre des communications du SPO depuis 1988, dépêcha des agents patrouilleurs, établissant l'emplacement de la femme par la voie du GPS de son cellulaire. Quand Anne la rappela, elle apprit que la femme s'était servi du téléphone de quelqu'un d'autre pour appeler au secours. Anne envoya des agents là où elle se trouvait et heureusement, elle avait été effrayée par un animal et non un être humain.
Un appelant au 9-1-1 fut témoin d'une automobiliste ayant heurté deux véhicules stationnés. L'appelant fournit d'excellents détails à l'analyste d'appels Anne, dont le fait qu'après avoir percuté un premier véhicule, la conductrice, chancelante, descendit de son véhicule pour jeter un coup d'œil. En redémarrant, elle heurta un deuxième véhicule. Les agents fouillèrent le secteur, mais l'on ne retrouva pas la conductrice soupçonnée d'avoir les facultés affaiblies.
Plusieurs appels furent faits au 9-1-1 à propos d'une collision latérale. Les analystes d'appels restèrent en communication avec chaque appelant pour obtenir le plus d'information possible sur l'état du conducteur. « En cas d'urgence, nous préférons recevoir de nombreux appels du public que de n'en recevoir aucun », dit Anne. Les policiers, les pompiers et les paramédicaux arrivèrent bientôt. Grâce aux premiers témoins sur les lieux, on prit soin du conducteur, et il ne fut pas gravement blessé.
Un appelant qui passait aux abords d'un parc du centre-ville vit une bagarre en cours. Trois individus avaient entouré une personne se trouvant par terre. L'analyste d'appels, Ayn, lança un appel prioritaire afin que des agents patrouilleurs interviennent. Tandis que les secours étaient en route, Ayn garda l'appelant au bout du fil afin d'obtenir un maximum de détails au sujet des agresseurs et de la victime. « Il importe toujours d'obtenir ces renseignements au cas où les parties en cause s'en iraient avant qu'arrivent les agents », dit Ayn, qui travaille au Centre des communications du SPO depuis mars 2001. « Nous voulons voir la victime même si elle s'en va, histoire de nous assurer qu'elle va bien. » Les agents trouvèrent la victime et demandèrent à Ayn de faire venir des paramédicaux pour examiner une possible blessure à la tête. Grâce aux signalements précis fournis par l'appelant, une personne fut arrêtée.
Aussi digne d'intérêt…
Patrick et Jennifer, préposés aux communications policières, se baladaient le long du canal pendant leur pause. Ils virent une femme sur une trottinette électrique arriver à grande vitesse puis faire une vilaine chute. La femme fut assommée par le choc et saignait de la tête. Patrick et Jennifer firent le 9-1-1 pour lui procurer des soins médicaux et se servirent d'une trousse de premiers soins pour soigner la femme en attendant l'arrivée des paramédicaux. « Même en pause-repas, nous nous occupons d'urgences », disent Jennifer et Patrick, qui sont heureux de s'être trouvés « au bon endroit, au bon moment » pour lui venir en aide.
Voici quelques conseils pratiques si vous faites le 9-1-1 ou appelez la police:
- Si vous voyez quelque chose de suspect ou dangereux, appelez immédiatement la police pour qu'un analyste d'appels puisse évaluer la situation et décider de la marche à suivre.
- Restez en ligne pour répondre à toutes les questions des analystes d'appels. Ils s'affairent à vous obtenir des secours le plus rapidement possible, et tiendront simultanément les premiers intervenants au fait de la situation pour qu'ils arrivent à vous en toute sûreté.
- Si vous composez le 9-1-1 par mégarde, ne raccrochez pas. Ne quittez pas, afin que l'analyste d'appels puisse classer votre appel comme non-urgent. Sinon, l’analyste devra vous rechercher pour vous rappeler, ce qui peut faire perdre un temps précieux qui serait mieux consacré à une autre personne ayant besoin d'aide.