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Carol Macpherson – Miser sur mes capacités, pas sur mes limites
Je me suis jointe à la Police de Gloucester en 1990, sans aspiration à devenir policière. Je savais que je n'étais pas assez brave pour faire ce que font les agents. Diplômée en Communication de masse, j'espérais œuvrer dans les relations avec les médias. J'ai commencé en tant que rapporteuse, du travail par quarts. Deux ans plus tard, je reçus un diagnostic de sclérose en plaques. Mes superviseurs m'ont tout de suite demandé ce qu'ils pouvaient faire pour moi. Je leur expliquai qu'un horaire de sommeil régulier m'aiderait à combattre la fatigue chronique qui accompagne cette maladie. Sans hésiter, ils ont modifié mon calendrier pour l'adapter à mes besoins. Puis vint ma chance, en 1998, de me joindre à l'équipe des relations avec les médias de la Police d'Ottawa. J'apprécie énormément ce travail. Il me permet d'apporter au public de l'information dont il a besoin pour sa sûreté, et je crois que mes efforts aident aussi aux agents à faire leur boulot. Cependant, tout cela ne sera jamais arrivé sans le soutien et l'optique progressiste de notre service de police. Il m'aurait fallu démissionner à cause du travail par quarts, et je n'aurais pas eu l'occasion d'exercer ce métier. Personne ne souhaite être défini par une maladie. Je suis une épouse, une mère, une artiste et une bénévole active. Je suis reconnaissante envers le SPO, qui a su mettre l'accent sur la valeur de mon apport plutôt que sur mes limites.