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Des agents empêchent une personne en détresse de se jeter du pont de l'avenue Kirkwood
Le Centre des communications de la Police d'Ottawa reçut un appel au 9-1-1 vers 6 h 30, le matin du 16 juin dernier, au sujet d'un piéton sur l'autoroute. Le Queensway fait partie du territoire de la PPO, mais le préposé aux communications policières, reconnaissant la nature urgente de la situation, avait dépêché des agents de la Police d'Ottawa avant de transférer l'appel.
L'agente Alex Slobodian terminait son quart de nuit et se trouvait à moins de deux kilomètres des lieux lorsque l'appel de « situation dangereuse » fut lancé sur les ondes.
« Tandis que je conduisais, je recevais des mises à jour du Centre des communications sur ce qui se passait », dit l'agente Slobodian, qui se joignit à la Police d'Ottawa en 2019. « Je sus dès lors que la situation dangereuse, c'était une personne marchant sur la chaussée au milieu des voies direction Est et qu'elle se trouvait maintenant debout sur le pont Kirkwood.”
La circulation matinale prenait de l'ampleur, et l'agente Slobodian savait qu'elle devait vite arriver sur place.
Elle arrêta son auto-patrouille sur l'avenue Kirkwood et pouvait apercevoir la personne au-dessus d'elle. Ses feux allumés pour mettre en garde les conducteurs, elle bondit hors de sa voiture et fit arrêter la circulation. La personne avait alors passé une jambe par-dessus le garde-corps.
« Je m'inquiétait pour la sûreté de cette personne, mais aussi pour celle des membres du public », dit l'agente Slobodian. « Je tenais à éviter une collision routière ou, si la personne sautait, qu'elle soit blessée à nouveau par un véhicule.”
Elle s'adressa à la personne, tout en indiquant aux autres agents où aller. L'agent Shayne Doiron et un bon samaritain parvinrent à saisir la personne puis à la ramener en lieu sûr.
Heureusement, la personne n'avait qu'une seule jambe de l'autre côté de la barrière, ce qui rendit l'intervention physique des agents bien moins périlleuse.
« Merci au membre du public qui a signalé la chose », dit l'agente Slobodian. « En tant que policiers, nous préférons recevoir plusieurs appels portant sur le même incident que de n'en recevoir aucun. Il se peut bien que votre coup de téléphone ait sauvé la vie de cette personne. »