Testing XSL
file://e:\websites\public\12571880\12571880_OttawaPoliceService\fr\rotatingimages\rotatingImageData.xml
defaultInterior
Mise à jour sur les opérations policières visant à expulser les manifestants illégaux
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE : le lundi 21 février 2022, 16 h 20
Ottawa – Le Service de police d’Ottawa et ses partenaires poursuivent leurs démarches pour ramener le centre-ville à son état normal.
Réduction de superficie de la zone sécurisée
La police a diminué la taille de la zone sécurisée, qui s’étend à l’heure actuelle :
- De la rue Somerset Ouest à la colline du Parlement
- De l’avenue Bronson au canal Rideau
Le marché By ne fait plus partie de la zone sécurisée.
Résidents et commerçants – ce qui est à prévoir mardi
Les résidents peuvent s’attendre au maintien d’une présence policière accrue au cours des prochains jours.
Les résidents peuvent se rendre à l’intérieur de la zone sécurisée s’ils ont une raison légitime de le faire, notamment d’y habiter, d’y travailler, d’y magasiner ou de visiter des entreprises.
Vous pouvez prévoir rencontrer des points de contrôle policiers où l’on vous demandera le motif de votre déplacement dans la zone sécurisée.
Les commerçants peuvent, en toute confiance, rouvrir les portes de leurs entreprises s’ils les avaient fermées durant la manifestation illégale.
La Police d’Ottawa collabore de près avec les organismes locaux d’amélioration commerciale.
Soutenir les entreprises locales est considéré une raison légitime d’entrer dans la zone sécurisée.
Nous tenons à remercier de leur patience les commerçants et les résidents.
Les mesures policières ne seront maintenues que le temps nécessaire à s’assurer que les manifestants illégaux ne reviennent pas sur les lieux.
Les manifestants illégaux ne doivent pas pénétrer dans la zone, sinon ils seront passibles d’arrestation et d’inculpation.
Certains manifestants illégaux sont retournés sur le site de manifestation après avoir arrêtés, et ils ont été inculpés.
Le 18 février, un Québécois fut arrêté pour entrave au travail de la police, méfait à l’égard des biens et méfait. Il fut relâché sans être inculpé. Le lendemain, il fut arrêté pour avoir désobéi à un ordre légitime, entrave au travail de la police, méfait à l’égard des biens et méfait; il fut relâché sur remise d’un engagement assorti de conditions de région désignée.
Le 18 février, une femme du Sud de l’Ontario fut arrêtée pour méfait. Elle fut relâchée sans être inculpée. Le lendemain, elle fut arrêtée pour avoir désobéi à un ordre légitime, entrave au travail de la police, méfait à l’égard des biens et méfait; elle fut relâchée sur remise d’un engagement assorti de conditions de région désignée.
Répression et dépôt d’accusations
En date du 21 février à 8 h, les policiers avaient procédé à 196 arrestations.
Parmi les personnes arrêtées, 110 furent inculpées de diverses infractions, notamment :
- Désobéir à une ordonnance du tribunal
- Entrave au travail d’un agent de la paix / résister à la police
- Voies de fait
- Méfait à l’égard des biens
- Méfait
- Troubler l’ordre public en se battant, en criant ou en jurant
- Voies de fait sur la police
- Conduite dangereuse d’un véhicule à moteur
- Port d’arme dans un dessein dangereux
Jusqu’ici, 115 véhicules ont été remorqués.
- 30 -
Contact :
Relations avec les médias
Téléphone : 613-236-1222, poste 5366